Ces trois résistants racontent à la jeune génération leur engagement, le combat mené au sein de la résistance, la répression, les circonstances de leur arrestations, les tortures, les conditions de vie en camp de concentration et le retour difficile des déportés à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ces parcours exemplaires témoignent de leur éternelle volonté de résister.
Le tiers état, qui n’a pas été écouté dans les débats, réplique en se proclamant Assemblée nationale. Louis XVI réagit en sommant le marquis de Dreux-Brézé (en habit rouge) d’interdire leur réunion. Mirabeau (au centre) le congédie. «Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu’on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes » Pour la première fois, un élu du peuple s’oppose ainsi ouvertement à une décision émanant du plus haut personnage de l’Etat.
Le serment du Jeu de paume est un engagement d’union pris le 20 juin 1789 à la salle du Jeu de paume, à Versailles, par les 578 députés du Tiers état lors des États généraux de 1789. En réalité, seuls 300 sont présents. Face aux pressions du roi de France Louis XVI, ils firent serment de ne pas se séparer avant l’élaboration d’une Constitution. Cet engagement, dénué d'existence juridique dans le cadre de l'Ancien Régime prévalant encore, a un impact symbolique et politique très fort, qui en fait un moment important des préludes de la Révolution française. Préfigurant la souveraineté nationale et la séparation des pouvoirs, il amènera la réunion des trois ordres (Noblesse, Clergé, Tiers-États) en une « Assemblée nationale constituante », dont sera issue l'abolition de la féodalité (4 août 1789), la déclaration des droits de l'homme et du citoyen (26 août 1789), et les grands principes de la Constitution (fin 1791).
Deux des milliers de tireuses d'élite de l'Armée Rouge vers 1942. À gauche la lieutenante Lyudmila Mikhaïlovna Pavlichenko, Ukrainienne alors âgée de 26 ans, qui fut l'une des plus décorées, avec à son actif 309 ennemis abattus, dont 36 snipers.
Dès 1939, les Allemands assassinent de sang-froid 60 000 Polonais : prêtres, fonctionnaires, enseignante, nobles, bref, tous les cadres de la nation polonaise. En 1944, le chiffre total montera à plus de 1 million. L'objectif d'Hitler est de transformer les Slaves (Polonais, Ukrainiens, Russes) en esclaves de « maîtres allemands», après en avoir éliminé tous les «éléments pensants». Après l'invasion de l'URSS, la barbarie nazie ne connaît plus de limites. De 6 à 7 millions de civils (sans compter les Juifs) sont morts de faim, fusillés ou pendus. 70 000 villes et villages sont rasés au sol ou peu s'en faut. Des millions de femmes et d'adolescents sont déportés en Allemagne pour y travailler dans les champs et les usines. Enfin, ajoutons à cette liste l'élimination de 3,3 millions de soldats de l'armée soviétique faits prisonniers en 1941. Ces malheureux sont parqués derrière des fils barbelés, couchés à même la terre nue, sans eau, sans nourriture, en proie ; au cannibalisme, au typhus...
Le régime nazi a fait enfermer dans des centaines de camps de concentration près de 3 millions d'hommes et de femmes qui s'opposaient à sa politique ou dont il jugeait qu'ils étaient indésirables. Les plus connus de ces camps s'appellent Dachau, Buchenwald, Mauthausen, Bergen-Belsen, Sachsenhausen...1,1 million de ces déportés mourront d'épuisement (travaux terribles dans les mines, les carrières, les marais), de sous-alimentation et de mauvais traitements. Qui étaient-ils ? Des résistants venus de toute l'Europe occupée, des otages ramassés au hasard des rafles, des condamnés de droit commun, des homosexuels, des Témoins de Jéhovah... Il ne faut pas confondre ces camps de concentration avec les camps d'extermination de Pologne, où 90 à 95% Juifs étaient gazés dans les 6 heures suivant leur arrivée.
Auschwitz est le plus grand camp de concentration du Troisième Reich. Il se trouve entre Oświęcim (Auschwitz en allemand) et Brzezinka (Birkenau en allemand)
En mer du Nord et en Baltique, les Alliés ont volontairement coulé des navires transportant près de trois milliards de tonnes d’armes chimiques et conventionnelles, produites lors de la Première et de la Seconde Guerre mondiale. Les fuselages métalliques qui confinent ces substances chimiques se corrodent. Les scientifiques prédisent une catastrophe sans précédent.
Tranchée de la Prince of Wales' Division à Ovillers-la-Boisselle, lors de la bataille de la Somme en juillet 1916. Une sentinelle monte la garde tandis que les autres soldats dorment. Photographie d'Ernest Brooks.
Carte : Belligérants, empires coloniaux et zones de combats
Un complément d'informations sur la guerre : Retraçons sur cartes les grandes étapes de la Première Guerre mondiale, depuis la montée des nationalismes au milieu du 19ème siècle, jusqu'à la signatures des traités de paix après 1918.
Tsutomu Yamaguchi est la seule personne connue ayant survécu aux 2 bombes atomiques de Hiroshima et Nagasaki.
Le 6 août 1945, il se rendit à Hiroshima pour affaire : 1re bombe !
Il quitta l'hôpital et rentra chez lui à Nagasaki le 9 août : 2e bombe !
Il mourut en 2010, à 93 ans.
Dès 1939, les Allemands assassinent de sang-froid 60 000 Polonais : prêtres, fonctionnaires, enseignante, nobles, bref, tous les cadres de la nation polonaise. En 1944, le chiffre total montera à plus de 1 million. L'objectif d'Hitler est de transformer les Slaves (Polonais, Ukrainiens, Russes) en esclaves de « maîtres allemands», après en avoir éliminé tous les «éléments pensants». Après l'invasion de l'URSS, la barbarie nazie ne connaît plus de limites. De 6 à 7 millions de civils (sans compter les Juifs) sont morts de faim, fusillés ou pendus. 70 000 villes et villages sont rasés au sol ou peu s'en faut. Des millions de femmes et d'adolescents sont déportés en Allemagne pour y travailler dans les champs et les usines. Enfin, ajoutons à cette liste l'élimination de 3,3 millions de soldats de l'armée soviétique faits prisonniers en 1941. Ces malheureux sont parqués derrière des fils barbelés, couchés à même la terre nue, sans eau, sans nourriture, en proie ; au cannibalisme, au typhus...
Le régime nazi a fait enfermer dans des centaines de camps de concentration près de 3 millions d'hommes et de femmes qui s'opposaient à sa politique ou dont il jugeait qu'ils étaient indésirables. Les plus connus de ces camps s'appellent Dachau, Buchenwald, Mauthausen, Bergen-Belsen, Sachsenhausen...1,1 million de ces déportés mourront d'épuisement (travaux terribles dans les mines, les carrières, les marais), de sous-alimentation et de mauvais traitements. Qui étaient-ils ? Des résistants venus de toute l'Europe occupée, des otages ramassés au hasard des rafles, des condamnés de droit commun, des homosexuels, des Témoins de Jéhovah... Il ne faut pas confondre ces camps de concentration avec les camps d'extermination de Pologne, où 90 à 95% Juifs étaient gazés dans les 6 heures suivant leur arrivée.
Auschwitz est le plus grand camp de concentration du Troisième Reich.
Il se trouve entre Oświęcim (Auschwitz en allemand) et Brzezinka (Birkenau en allemand)
Les derniers est une série de documentaires courts. Chaque épisode est la rencontre d'un rescapé des camps de concentration qui raconte la guerre, la vie après la transmission et le monde actuel.